Georges Roy et Jean Bodenreider étudiants
Moôôn ! c’est not’Georges ! Georges Roy, étudiant à la faculté de médecine de Nancy, en 1ère et 2è année, qui étaient en réalité des 2è et 3è, puisqu’il y avait le PCB (physique, chimie et biologie) avant, devenu ensuite CPEM, puis PCEM, puis PACES et maintenant je ne sais plus : j’chu comme le grand-père du « loup de Fraimbois » ! Je ne sais pu ben où’ce que j’ai la tête ! On voit ici Georges, avec des lunettes assez tôt, et son ami Jean Bodenreider, frère de Simone, qui devait devenir son beau-frère quelques années après … Georges était médecin à Neufchâteau (Vosges), Jean à Doulaincourt (Haute-Marne).
Le vieux professeur était probablement le célèbre anatomiste Lucien ? A ses côtés, le jeune Beau, qui devait être à l’époque prosecteur d’anatomie, qui devint agrégé en 1939, à l’age de 30 ans ! Guère plus âgé que les étudiants, et futur Doyen ; il était Beau d’allure et de nom …
Mais ils sont tous beaux, ils sont une génération de futurs médecins lorrains d’avant-guerre.
A propos de Georges, une anecdote racontée par lui ou son frère Jean : peu après guerre, vers 1950, il y avait une vieille appelée Virginie, les petits l’appelaient « la Berginie », qui devait faire le ménage chez l’un et l’autre Roy ; Georges se rendit un jour à son chevet, elle malade, s’écria « Moôôôn, v’là not’Georges ! » ; « penses-tu, y viendra pas c’con là » répliqua le vieux mari de la Virginie, sans lever les yeux, devant Georges ébahi et amusé par sa répartie …