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Pentecôte 2025

De Jacques Forestier, 8 avril 2025

Chères cousines, chers cousins, chers descendants de Victoire et Augustin

En premier lieu, je vous espère en bonne forme et prêts à se retrouver pour notre cousinade annuelle. Ce sera, sauf erreur de ma part, la 55ème réunion de famille. Elle se déroulera cette fois-ci dans les Hautes Vosges, à Xonrupt-Longemer, commune située à proximité de Gérardmer et du massif des Vosges. 

Pour ceux qui viennent de plus loin…se référer à la carte de France Michelin N°721  ou à votre GPS. 

Vous trouverez ci-après les informations générales de notre prochaine fête de famille durant le week-end de Pentecôte et plus précisément le dimanche 8 juin 2025, soit dans 2 mois. C’est donc très bientôt.

Nous nous retrouverons dans la grande salle des fêtes de la commune, située près de l’Eglise et de la Mairie de Xonrupt-Longemer, qui permet d’accueillir jusqu’à …250 personnes.  

A cet égard, merci de m’indiquer/confirmer pour le 8 mai votre présence le 8 juin, éventuellement la veille, afin que je puisse valider les modalités pratiques selon notre nombre (une autre salle pour 50 personnes est également disponible mais moins pratique car à l’étage).  Je serai dans les Vosges, à compter du week-end du 3-4 mai jusqu’au 10 mai pour préparer nos retrouvailles. 

Programme (provisoire) 

Accueil à partir de 11H, Apéritif. 

Déjeuner : Tofaille des Vosges, salades, fromages, vos desserts pour le concours habituel.

Après-midi : activités diverses telles que :

– point de vue sur les Vosges et l’Alsace depuis les hauteurs du massif des Vosges, au Hohneck notamment, via la route des crêtes (20 à 25 minutes en voiture) ; 

– balades pédestres depuis la salle des fêtes au Saut des cuves (20 à 30 minutes) ou au Pont des fées (30 à 45 minutes),

–  balades autour des lacs de Longemer (situé à 5 minutes en voiture, compter 1H de balade) et Retournemer (7 minutes, 20 minutes de balade), ou de Gérardmer (11 minutes, 1H pour le tour complet). 

Diner : Pâtés lorrain, salades et tartes aux brimbelles. 

Participation :

Concernant la participation par personne, je pense que l’on restera dans les prix de l’année passée (35 euros/adulte et 15 euros/enfant de moins de 11 ans), mais je reviendrai plus précisément vers vous à cet égard en mai. A ce stade, seul le coût de la salle est connu, et le prix sera adapté en fonction de notre nombre.

Logement : 

Je vous mets ci-joint les liens vers les sites des communes avoisinantes et/ou des offices de Tourisme. 

J’ai par ailleurs trouvé quelques locations disponibles à proximité, notamment à Gerbépal, au-dessus de la chapelle Sainte-Anne, au sein du domaine de Nayemont qui dispose de 2 gites de 6 couchages chacun auprès de Delphine Pezzoli au 0612212527. Prix de 400 euros par gite (grand WE) pour deux nuits, sans les draps et hors frais de séjour (cf site) : https://www.grandsgites.com/gite-88-de-nayemont-2356.htm

et à Xonrupt-Longemer même, sur les hauteurs, comprenant 3 chambres de 2 personnes (l’une pouvant accueillir 3 personnes),  auprès de Frédéric Guery au 0687281118, gérant de la Forêt des Livres, 1085 route de la Roche du Page 88400 Xonrupt-Longemer.  Prix de la chambre 90 euros par nuit, 70 euros par nuit si 3 nuits… 

Réservez vite si vous venez de loin et/ou si vous arrivez la veille et/ou souhaitez rester le soir. 

https://www.xonrupt.fr/Vie-locale/Vie-economique-touristique.html?categ=15

https://www.gerbepal.fr/tourisme/hebergement

https://gerardmer.net/menu-hebergements.php

Ce site répertorie les différents offices du tourisme aux alentours et donne des indications concernant l’hébergement à proximité de notre lieu de rendez-vous. 

Contact :

Jacques Forestier :  par mail à l’adresse jacquesdenisfox@me.com ou par téléphone au 0687740493, de préférence via WhatsApp, notamment lorsque je serai dans les Vosges, à Gerbépal, la réception y est limitée…

A bientôt de vous retrouver !

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Jacques Masson

Adieu Jacques (30/03/2025)

Le dernier Masson …

photo récente de Jacques (coll. Geneviève Glad)

Texte de Gérard et Véronique Jurine

Informés par sa nièce Geneviève GLAD, nous venons vous faire part du décès de Jacques MASSON, le 30 mars 2025, à LA ROCHE DE GLUN (26600). 

Jacques était le fils d’André MASSON et Henriette LISSE. 

Ci-après, vous trouverez toutes les informations sur ses obsèques, organisées par Karine, sa petite fille.

Tout comme son frère aîné Pierre, décédé en 2022, Jacques aura failli être centenaire, à 6 ans près.

Nous rappelons aussi à votre souvenir sa grande soeur Thérèse, décédée en 2014. Thérèse, épouse de Jean GLAD, était, avec quelques autres, la mémoire vivante de notre famille.

Jacques s’était marié avec Yvette DUMAS (décédée en 2021), dont il avait adopté le fils unique Gérard. Jacques s’est beaucoup occupé des trois enfants de Gérard, notamment l’ainée, Karine, que Gérard a eue très jeune.

Deux qualificatifs nous viennent à l’esprit : discrétion et fidélité.

Jacques a fait beaucoup de bien dans sa vie, mais ce n’était pas un adepte du « Bien faire et le faire savoir » : il cultivait plutôt la discrétion. Fidélité : aussi longtemps que sa santé le lui a permis, Jacques est toujours venu à la fête de Pentecôte, malgré sa position excentrée dans la Drôme. Nous nous parlions assez régulièrement au téléphone. Le dernier contact a été son appel téléphonique de juillet dernier, à l’occasion de la naissance de notre petite fille Juliette.

Bon vent, Jacques !

Nous vous embrassons tous affectueusement.

de Karine, sa petite fille

Les enfants d’André Masson et Henriette Lisse (coll. Henri-Jean Lisse)

(Coll. Olivier Dauphin), Le Bourget du Lac 2022

Le dernier Masson, de nom … nous sommes tou(te)s des Masson !

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Pentecôte 2024

Pique-Nique Masson 2024 – Dominique et Jean-Luc Imboden, Clarisse et Marc

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Dernière minute 2024

de la part des Imboden …

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Bonne Fête de Noël

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De la part de Dominique et Jean-Luc Imboden
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Neufchâteau Après la Libération, l’impossible élection

Jean-Paul Roy nous communique … nov 2023

Neufchâteau – Après la Libération, l’impossible élection …

Vosges Matin – 07 févr. 2020 à 05:00 – Temps de lecture : 2 min
Charles Roy, élu maire en novembre 1944.
Charles Roy, élu maire en novembre 1944.

Choisir de devenir maire s’avère parfois complexe : l’élection suivant la Libération de Neufchâteau en 1944 en est un parfait exemple.

Alors que la ville est libérée le 12 septembre, le conseil municipal fut convoqué le 29 octobre afin d’installer les membres du conseil nommés par l’arrêté préfectoral du 21 octobre. Le maire précédent, Henry Didier, siégeait depuis 1935 en tant qu’édile. Le 29 octobre 1944, à 11 heures du matin, se déroula une séance d’élections qui verra 5 membres élus comme maire, chacun refusant tour à tour le poste.

Ce jour-là, 22 conseillers sont présents sur 23. René Chaput est secrétaire de séance, Louis Noirtin président, privilège de l’âge ; au scrutin secret et à la majorité absolue établie à 12, les conseillers doivent élire leur maire. Au 1er tour de scrutin, chacun remet au président son bulletin de vote sur papier blanc, fermé.

Le résultat tombe : Charles Roy obtient 19 voix. Sauf que « M. Roy Charles ayant obtenu la majorité absolue a été proclamé maire, il a déclaré ne vouloir accepter », il est donc procédé à un nouveau tour de scrutin. Cette fois, Charles Lickel obtient 14 voix ; il refuse à son tour le poste, contraignant le conseil à effectuer un nouveau tour. Lors de celui-ci, Paul Marchand obtient 11 voix : la majorité absolue n’étant pas atteinte, un second tour de scrutin a lieu, qui voit ce même Paul Marchand obtenir 13 voix, mais refusant à son tour. Tour suivant. Avec 15 voix, Henri Hainzelin semble élu mais refuse, l’élection se poursuit. Henri Flamérion obtient 8 voix, insuffisant pour la majorité absolue ; le second tour de scrutin le voit obtenir 17 voix, mais refuser. « Dans l’impossibilité de former la municipalité, le conseil s’ajourne pour décision à intervenir ».

Il faudra attendre le 16 novembre 1944 pour qu’un maire soit élu et accepte : Charles Roy, le premier à avoir été plébiscité lors de cette incroyable élection d’octobre 1944.

Savez-vous comment s’est passée la Libération de Neufchâteau ?

Vosges Matin – 08 sept. 2023 à 12:30 | mis à jour le 09 sept. 2023 à 09:38 – Temps de lecture : 1 min

Cela va bientôt faire 79 ans que la ville de Neufchâteau a été libérée de l’occupation allemande. Mais savez-vous comment cette dernière s’est déroulée ? Avant la cérémonie de ce 12 septembre, on vous propose de passer en revue les évènements.

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Des soldats américains devant les Cinq Ponts après la Libération.
Des soldats américains devant les Cinq Ponts après la Libération.

Le 1er septembre 1944, les maquisards de Vaudeville combattent l’occupant Allemand à la frontière entre la Meuse et l’Ouest Vosgien alors que les troupes américaines approchent. Les Allemands prennent la fuite et plusieurs véhicules alliés passent par Neufchâteau.

soldats américains rue Jules Ferry

Le 2 septembre, les Néocastriens croient à leur Libération. Dès le 3 septembre, les Allemands sont de retour avant la Libération définitive le 12 septembre 1944. Le 13 septembre, la prudence reste de mise, mais les Américains sont bien présents. Le 18 septembre, une cérémonie se fait place des Cordeliers devant le monument aux morts avec le maire Charles Roy et en présence des libérateurs qui sont ensuite reçus en mairie.

Le dimanche 24 septembre, une messe de reconnaissance à Dieu est dite à l’église Saint-Nicolas en présence des autorités civiles et militaires. Une quête au profit des sinistrés a recueilli 6 000 francs. En fin de messe, le Te Deum est chanté, puis la Marseillaise et l’hymne américain ont retenti. Le lendemain, une nouvelle célébration, cette fois-ci pour les morts de la guerre, a été dite à l’église.

La cérémonie du 79e anniversaire de la Libération aura lieu le mardi 12 septembre à 18 h au monument aux morts 39-45 (square Michelet).

2 septembre 1944 : une première libération éphémère

Vosges Matin – 11 sept. 2019 à 05:01 – Temps de lecture : 2 min

Dix jours avant le 12 septembre 1944, Neufchâteau avait connu une première libération. Alors qu’au mois d’août, les Néocastriens avaient assisté au repli allemand, la cité se situant sur leur trajet, le 31 août marque le départ des derniers services administratifs allemands. Les Américains, selon la rumeur, sont aux portes de la ville.

la gare incendiée

Le matin du 1er  septembre, André Vernier, chef de gare, est en liaison avec les gares environnantes : toutes annoncent l’arrivée des Américains. Les Néocastriens sortent la tête de leurs caves pour guetter l’arrivée des libérateurs, mais un dernier combat doit se jouer : une quarantaine de soldats allemands restés avec un officier bloquent la route aux Cinq-Ponts. Devant l’arrivée de trois auto-mitrailleuses américaines, ils prennent la fuite.

pont de Rouceux détruit

2 septembre : c’est la liesse dans la ville libérée. Le Comité de Libération de l’Arrondissement de Neufchâteau se réunit à la sous-préfecture, les habitants ressortent les drapeaux, célèbrent les Américains, s’emparent des collaborateurs. Cependant, André Vernier reçoit des informations inquiétantes depuis la Haute-Marne, région toujours occupée.

À 18 h, la nouvelle tombe : 3 000 Allemands se replient depuis le sud, et sur leur trajet, Neufchâteau. Pas assez nombreux, les Américains annoncent qu’ils ne peuvent défendre la ville. Pour les mêmes raisons, FFI et Maquisards se retirent aussi.

Dans la nuit, les Allemands sont de retour dans la cité.

12 septembre 1944 : la Libération définitive

Après une nouvelle occupation de dix jours entre le 3 et le 12 septembre, Neufchâteau connaît la Libération définitive.

Dans la nuit du 3 au 4 septembre, les Allemands, renforcés par des troupes en repli, ont fait sauter les voies d’accès à la ville : les « Cinq-Ponts », les ponts de la rue Victor Martin, de la route de Nancy et de Rouceux, et incendient la gare. Leur objectif : faire de Neufchâteau un noyau de résistance, refusant les ultimatums des Américains qui, par les voix du maire et d’André Vernier, tentent d’obtenir la reddition sans combats. Le 10 septembre, le 315e  Régiment d’Infanterie US projette de s’emparer de la ville à renfort de tirs d’artillerie. L’État-major FFI réussit à les convaincre d’épargner la ville.

Mardi 12 septembre : les combats s’engagent au petit matin, avec pour cible les batteries ennemies. Dans la matinée, le 1er Bataillon du 315e  RIUS s’empare de la caserne Rebeval, tandis que le 2e  Bataillon reprend Noncourt. Vers 11 h 30, les Allemands tirent avec un canon positionné au Château, les Américains répliquent. Les tireurs sur les toits ralentissent leur volonté d’assaut. Dans l’après-midi, Rouceux est libéré, les Allemands sont encerclés. Le 2e  Bataillon, qui réussit à franchir le Mouzon, s’engage dans les rues pour aller s’emparer du Château. Les Allemands capitulent rapidement.

À minuit, la ville est définitivement libérée, et si la guerre est loin d’être terminée, retrouve sa liberté.

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Masson 2024

Dominique et Jean-Luc Imboden

8 septembre 2023

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Françoise Jarck née Renard

message d’Axel Togni à Gérard Jurine – 4 septembre 2023

« Ma grande tante, Françoise Jarck, est décédée samedi 2 septembre à l’âge de 91ans. 

L’enterrement sera samedi prochain, le 9 septembre à 15h à l’abbaye st Philibert de Tournus. 

Peux tu te charger de faire le relais auprès de la famille avec tes listes de contact stp. 

Je mets également également en copie du mail Jean-Paul et Dominique. « 

Françoise est en 14 sur cette photographie en 1936 à Neufchâteau

Plus tard …

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Terrebasse – première image

coll. Jean-Paul Roy
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Dauphin Terrebasse j-3

Didier Dauphin